Mathieu Bock-Côté, sociologue et essayiste sur le profil des casseurs ayant sévit le 1er Mai à Paris: «Nous sommes devant des milices d'ultragauche parce qu'il y a chez elles, non seulement un consentement à la violence mais une valorisation de la violence, une mise en scène, une volonté de miser sur la violence pour transformer les sociétés.»