SEARCH
Laurent Dandrieu : «Nous vivons dans une société qui nous prive d’un certain nombre de choses»
CNEWS
2022-04-02
Views
5
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
L’essayiste et auteur de La Confrérie des intranquilles, Laurent Dandrieu concernant son ouvrage : «Nous vivons dans une société qui nous prive d’un certain nombre de choses qui sont essentielles à notre humanité».
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x89noed" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:25
Jacqueline Eustache-Brinio : «Le problème de la gauche aujourd'hui, c'est qu'elle ne s'est pas remise en question sur les problèmes de société que nous vivons»
00:57
Denis Jacob : «Dans quelle société vivons-nous ? C'est hallucinant»
01:26
Sabrina Medjebeur : «Nous vivons dans une société adulescente»
01:48
Laurent Ozon : «Nous vivons dans une société qui a organisé la perte de culture de la population»
02:08
Caroline Pilastre : «Ces gens peuvent se dire nous vivons des difficultés, nous vivons une injustice, à partir du moment où il y a une population qui a une autre identité [..] qui va arriver dans nos campagnes, pourquoi elle serait privilégiée»
00:59
Jacqueline Eustache-Brinio : «Quel est le pays qui accepte ce que nous vivons nous ?»
03:11
Dimitri Pavlenko : «Les commémorations nous en disent toujours plus sur l'époque que nous vivons que sur l'événement passé»
01:07
Michel Geoffroy : «Nous vivons aujourd’hui l’effondrement du rêve de la Super-classe mondiale»
08:10
J. Toubon :"nous vivons dans un monde qui revient à la barbarie"
00:35
Madi Seydi : «Au regard de la période que nous vivons, tout le monde doit faire des efforts»
01:20
Yannick Fialip : «Les animaux ont baissé leur production avec la sécheresse et canicule que nous vivons»
01:36
Éric Naulleau : «Nous vivons dans un pays qui repose sur l’afflux de gens qui sont prêts à accepter n’importe quel boulot mal payé»