Apres les annonces du Premier ministre, les entreprises du transport estiment toutes que le compte n'y est pas. En effet, les aides promises sont pour l'avenir, notamment la baisse de 15 centimes à partir du 1er avril sur le litre, déjà jugée insuffisante. De plus, le Premier ministre n'a rien annoncé pour compenser les pertes subies depuis le début du conflit en Ukraine et l'envolée des prix du gazole. Si certains continuent de négocier, d'autres veulent passer à l'action.