'20 Minutes' vous informe tous les soirs de l'avancée du conflit en Ukraine
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Avez-vous manqué les dernières nouvelles sur la guerre de Vladimir Poutine en Ukraine ? Pas de panique, 20 Minutes fait le point pour vous tous les jours à 19h30. qui a fait quoi ? qui a dit quoi? Où sommes-nous? Réponses ci-dessous :

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Volodymyr Zelensky a appelé mercredi les Occidentaux à lui envoyer des avions de chasse "au plus vite", à commencer par les Mig-29 fournis par Varsovie, malgré les avertissements du Kremlin. "Prenez vite une décision et envoyez-nous un avion !", a lancé le président ukrainien aux Occidentaux dans une nouvelle vidéo postée sur sa chaîne Telegram. Il a remercié Varsovie d'avoir proposé d'envoyer les avions en Ukraine et a regretté qu'"aucune décision n'ait été prise". La veille, la Pologne avait surpris les Américains en disant qu'elle était "prête à transporter tous les avions Mig-29 vers la base (allemande) de Ramstein, gratuitement, sans délai, au gouvernement américain." Expédition vers l'Ukraine.

Les États-Unis craignent une escalade du conflit car la Russie prévient qu'elle envisagera d'envoyer de tels avions depuis un pays tiers directement impliqué dans le conflit. Washington a donc catégoriquement rejeté la proposition de la Pologne.

nombre de jours

160. C'est le nombre d'oligarques et de parlementaires russes qui figurent sur la liste noire de l'UE des personnes et entités dont les avoirs sont gelés en Europe. Suite à l'invasion ukrainienne, 27 pays ont décidé mercredi d'étendre les sanctions contre Moscou et Minsk, ciblant 14 oligarques et hommes d'affaires et les membres de leur famille impliqués dans des secteurs clés de l'économie russe (agriculture, sidérurgie, télécommunications, etc.) 146 membres de la Chambre haute du Parlement). La liste noire européenne, établie depuis l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014, comprend désormais un total de 862 personnes et 53 entités.

phrase

"Je ne pense pas que Poutine ait jamais pensé que les sanctions financières pouvaient être aussi puissantes"

Tels étaient les mots de Josep Borrell à la fin du débat sur la sécurité européenne au Parlement européen à Strasbourg. "Poutine a ri quand on a dit qu'il y aurait des 'conséquences graves', et maintenant il ne rit plus", a encore déclaré le chef des affaires étrangères européennes.

la tendance de