Jérôme Poirot détaille l’importance des nouvelles sanctions financières contre la Russie et indique qu’en raison de la concentration de l’activité économique russe, dirigée par seulement quelques groupes, c’est bien toute l’économie qui sera paralysée et il sera très difficile pour la Russie de s’en relever : «La puissance des sanctions pourrait concerner 60 à 70% du PIB, il sera beaucoup plus facile de commercer avec l’Iran qu’avec la Russie dans la situation actuelle».