Une tendance “de long terme”. Dans une analyse des températures mondiales rendue mercredi 19 janvier, l’Organisation météorologique mondiale a qualifié les sept années passées de “plus chaudes jamais enregistrées”. Un constat particulièrement alarmant dans la mesure où cette tendance ne devrait pas changer “en raison des nivaux records de gaz à effet de serre présents dans l’atmosphère” indique l’OMM.
S’il est indubitablement lié à l’activité humaine, ce réchauffement des températures moyennes n’a rien de récent. Depuis plus d’un siècle, la mesure des variations de température montre de plus en plus d’anomalies, c’est-à-dire de dépassement de la moyenne habituelle.