Interrogé sur la possibilité de voir l'Australie perdre son statut d'organisateur d'un tournoi du Grand Chelem suite à sa gestion de l'affaire Djokovic, le co-président de l'International Tennis Writers Association Simon Cambers estime qu'il est trop tôt pour envisager une telle éventualité, malgré "les critiques sur la façon dont tout a été géré et la communication de Tennis Australia".