Alors que l’arrivée du variant Omicron provoque une véritable flambée épidémique, que va-t-il advenir de l’élection présidentielle, qui se tient dans un peu plus de quatre mois à peine? Officiellement, le gouvernement jure que le calendrier sera maintenu. “Ce n’est ni sur la table, ni en dessous, ni dans le placard près de la table, nous voterons en avril”, a balayé d’un revers de main Gabriel Attal, interrogé sur France 2 sur un possible report de l’élection suprême. Lors d’un point presse suivant le Conseil des ministres, ce mercredi, il s’est fait l’écho de la promesse d’Emmanuel Macron: “les échéances démocratiques seraient maintenues”.