Près de 30 ans après la condamnation d’Omar Raddad pour le
meurtre d’une riche veuve, la justice a annoncé la réouverture du dossier. Une
première étape vers une éventuelle révision du procès. « J'espère que ces ADN qui ont fait condamner mon
client, qui se bat depuis plus de trente ans, vont permettre aujourd’hui de
rectifier l'une des plus grandes erreurs judiciaires du 20ème siècle»,
a réagi Sylvie Noachovitch, avocate de l’accusé.