Plusieurs chefs d’Etat et dirigeants
politiques ont pris la parole lundi à Glasgow, en Ecosse, au premier jour de la
COP26, la conférence qui doit
permettre de négocier les engagements climatiques des grandes puissances.
Emmanuel Macron a ainsi appelé les pays « plus gros émetteurs »
de CO2 en retard sur leurs engagements à « rehausser leurs ambitions dans
les 15 jours » de la COP26, en allusion à la Russie et la Chine qu'il a
déjà citées. La chancelière allemande Angela Merkel a quant à elle
plaidé une tarification des émissions de CO2. Le secrétaire général de l’ONU
a averti que l'humanité est en train de « est face à un choix très
difficile : Soit nous arrêtons le réchauffement climatique,
soit il nous arrête ».