Cinq personnes ont été interpellées le 28 septembre. Elles seront suspectées d'avoir cyber-harcelé et menacé de mort Mila après sa publication d'une vidéo polémique sur l'islam et seront jugées en avril. Ces interpellations signifient que «c'est la fin de l'impunité sur les réseaux sociaux et ceci une excellente nouvelle pour la démocratie», explique Richard Malka, l'avocat de Mila