Nées à la suite de la crise sanitaire, les terrasses éphémères existent toujours. Si la mesure fait le bonheur des restaurateurs et des cafetiers, certains habitants ne cachent pas leur ras-le-bol. Un riverain a même adressé un mail a la maire de Paris, où il dénonce «l'anarchie des terrasses estivales».


Car ces terrasses se déploient, non seulement sur les trottoirs, mais aussi sur les places de parking, de livraisin... Au grand dam de certains habitants, agacés notamment par les nuisances sonores qu'elles engendrent. Normalement, après 22 heures, ces terrasses doivent fermer. Mais, certaines font de la résistance.