Deux articles parus dans Libération et Marianne font état « d’une omerta » qui régnerait au Sénat autour de la gestion des cas de harcèlement de collaborateurs parlementaires. Après la mise en place, en 2018, d’une cellule anti-harcèlement, la Haute assemblée a récemment déployé un plan de sensibilisation à destination des sénateurs.