Ce samedi sur un site de prépublications, une étude menée par l'Université de Montpellier et le CHU de Nîmes et de Caen faisait état de deux situations qui auraient été dramatiques si la vaccination n'avait pas commencé. L'étude estime que la vaccination a épargné 39.100 entrées en soins critiques au 20 août et 47.400 décès.