Près de 48h après les incidents de la rencontre de football entre Nice et Marseille, le manque de sécurité est toujours autant pointé du doigt. Il faut dire que la crise du coronavirus a monopolisé l'attention de tous les clubs, un peu au détriment du reste. Les matches étaient à huis clos et les question qui pouvaient se poser avant la pandémie ont été mises de côté. Cet incident doit aussi remettre en question le rôle des groupes d'ultras, défendus coût que coût par les dirigeants, parce qu'ils sont aujourd'hui considérés comme les garants de la culture club, d'un ancrage local.