SEARCH
Rachida Inaoui-Roze : «Avec les millions de personnes vaccinées, on ne peut pas avoir mieux comme recul»
CNEWS
2021-08-13
Views
563
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Dans #Punchline, Rachida Inaoui-Roze répond à ceux qui craignent le manque de recul sur le vaccin.
La défiance ne la choque pas, mais elle estime qu' «avec les millions de personnes vaccinées dans le monde, on ne peut pas avoir mieux comme recul».
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x83ebci" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:08
Dr Rachida Inaoui-Rozé : «On ne reviendra jamais à l’ancien monde, et tant mieux»
01:17
Dr Rachida Inaoui-Roze : «Comme c’est une technologie nouvelle, il y a une grosse défiance»
00:55
Dr. Rachida Inaoui-Rozé sur le pass vaccinal : «Il devient nécessaire»
03:07
Dr Rachida Inaoui-Rozé : «Pas besoin de vacciner les enfants s'ils sont en bonne santé»
00:58
Dr Rachida Inaoui-Rozé : «On ne peut pas absorber une nouvelle vague de Covid»
00:49
Dr Rachida Inaoui-Rozé : «Il ne faut à aucun moment ralentir, car le variant est très malin»
00:43
Dr Rachida Inaoui-Rozé : « Certains parents ont peur que les tests antigéniques se passent mal, que le geste soit traumatisant »
00:43
Dr Rachida Inaoui-Rozé : «Il faut revenir aux masques dans les endroits clos»
02:06
Dr Rachida Inaoui-Rozé sur le nouveau protocole dans les écoles : "Il y a beaucoup d'auto-satisfaction qui m'inquiète, de vouloir être exemplaire quand on ne l'est pas"
01:47
Dr. Rachida Inaoui-Roze, à propos du déconfinement : «Ce n'est pas la bonne stratégie de commencer à parler de mi mai»
01:12
Rachida Inaoui-Rozé sur la réorganisation de l’hôpital : «L’avenir c’est les jeunes, c’est ceux qui ont moins de 30 ou 40 ans qui sont sur le terrain et il faut leur laisser une vraie place»
00:48
Dr Rachida Inaoui-Rozé sur les soignants non-vaccinés : «On serait ravis de les réintégrer mais la posture de l'Etat nous en empêche»