Prisées notamment par les jeunes, les bonbonnes de protoxyde d’azote, toujours plus grosses et plus nombreuses, explosent dans les fours des usines de traitement des déchets, mettant à l’arrêt les installations. Les professionnels tirent la sonnette d’alarme. Les dégâts se chiffrent en centaines de milliers d’euros, notamment en Ile-de-France.