Alors que les opposants au pass sanitaire restent mobilisés, Imad Kansau, infectiologue de l'hôpital Antoine Béclère de Clamart, écarte les arguments retenus contre les vaccins ARN. Sortis de la phase 3 des tests depuis plus d’un an, ils ont «été suffisamment testés» et sont maintenant dans la phase 4 qui dure vingt ans. Cet argument, ainsi que toute idée d’un effet secondaire sur le patrimoine génétique, «n’est pas acceptable».