Bernard Suqaricini, ancien directeur des Renseignements intérieurs, et dont le téléphone a été ciblé par le logiciel Pegasus, n’est pas surpris que les pays s’espionnent entre eux. Mais il tire un enseignement : désormais, avec l’apparition de sociétés privées à visées commerciales, l’espionnage n’est plus l’apanage des pays les plus riches.
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