C’est un véritable dialogue de sourds entre la Mairie de Paris et le préfet de police. Depuis qu’Anne Hidalgo a décidé de fermer les jardins d’Éole le 30 juin, sans avoir trouvé un nouveau lieu pour accueillir les usagers de crack, Didier Lallement est toujours aussi furieux. Le 10 juillet, dans une lettre à laquelle a eu accès Le Parisien, adressée à la mairie socialiste, et plus particulièrement à Nicolas Nordman, l’adjoint à la prévention et à la sécurité, le préfet de police estime que la situation « était prévisible ».
https://www.lepoint.fr/societe/crack-a-paris-la-colere-de-didier-lallement-contre-la-mairie-12-07-2021-2435135_23.php
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