SEARCH
Xavier Bertrand: "Si vous voulez maintenir notre système de retraite, il faudra accepter de travailler un peu plus longtemps"
BFMTV
2021-07-07
Views
1
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Xavier Bertrand, président de la région des Hauts-de-France et candidat à la présidentielle de 2022 était l'invité de Jean-Jacques Bourdin, ce mercredi sur BFMTV et RMC.
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x82ijnw" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
00:38
Élisabeth Borne: "Pour l'équilibre de notre système, il nous faudra progressivement travailler un peu plus longtemps"
01:36
Pour Geoffroy Roux de Bézieux, "tant que l'espérance de vie augmente, il faut accepter de travailler plus longtemps"
03:00
Elisabeth Borne: "Il nous faudra travailler progressivement un peu plus longtemps"
02:20
Retraites: pour Geoffroy Roux de Bézieux (Medef), "il faudra trouver le moyen de travailler plus longtemps"
01:26
Xavier Bertrand sur la réforme des retraites: "Si l'on vit plus longtemps, il faut avoir le courage de dire qu'il faut travailler plus longtemps"
01:45
Pour Anne Hidalgo, "il faut maintenir le nucléaire aussi longtemps qu'on n'aura pas fait monter les énergies renouvelables" mais elle est contre "la construction de nouveaux EPR"
01:38
Olivier Véran: "Nous assumons le choix de maintenir l'éducation le plus longtemps possible"
02:02
"Nous soutiendrons l'Ukraine aussi longtemps qu'il le faudra", rappelle Olivier Becht
00:46
"Nous continuerons aussi longtemps et autant qu'il le faudra pour aider l'Ukraine à se défendre" affirme Emmanuel Macron
00:34
Guerre: Washington assure que "les États-Unis seront aux côtés de l'Ukraine aussi longtemps qu'il le faudra"
02:15
Joe Biden à Volodymyr Zelensky: "Nous resterons à vos côtés aussi longtemps qu'il le faudra"
00:51
Jérôme Fourquet (Ifop): "Si la grève ne dure pas trop longtemps, il y a une capacité [des Français] à accepter les désagréments"