Un père pleure sa fille, des femmes embrasse un bébé, on recouvre un jeune homme. Trois images douces, tendres et si tristes sur de très beaux visages.
Sarah Moon lit un texte de Amer Matar, journaliste syrien : « Après tant de désastres, la mémoire de chaque Syrien s’est transformée en fosse commune où les gens et les lieux sont ensevelis ».