Le procès de treize personnes, jugées pour avoir cyberharcelé et menacé de mort, l'adolescente Mila après sa publication en novembre d'une vidéo polémique sur l'islam devenue virale, s'est ouvert jeudi devant le tribunal correctionnel de Paris. Pour l'avocat d'un des prévenus, le message envoyé par son client à Mila ne l'a pas été "pour des motivations religieuses"