Les condamnations prononcées dans la nuit du samedi 17 avril au dimanche par la cour d’assises des mineurs de Paris ont provoqué la colère des forces de l’ordre, de leurs proches, et tout particulièrement des victimes elles-mêmes. Près de cinq ans après les faits, la policière qui était dans la première voiture (NDLR: la Kangoo) porte encore les séquelles de l'attaque. Son mari est déçu et en colère, et n’approuve pas du tout ce verdict.