Les Pékinois se sont réveillés dans un épais brouillard jaunâtre. La faute à la pollution humaine couplée à une importante tempête de sable en provenance du proche désert de Gobi. La combinaison des deux phénomènes produit un cocktail dangereux pour la santé et réduisait la visibilité à quelques centaines de mètres. La qualité de l’air était jugée « dangereuse » par le site spécialisé aqicn.org. Le niveau des particules PM10 atteignait la limite de 999 en début de matinée, un taux près de vingt fois supérieur aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).