Une nouvelle projection menée par deux experts laisse entendre que le variant britannique pourrait devenir majoritaire au mois de mars. Ce constat est partagé par le Dr Luc Dauchet, maître de conférence en santé publique au CHU de Lille (Nord). Intervenu sur notre antenne ce soir, ce dernier constate une décroissance lente des anciens variants mais qui masque la croissance rapide du variant britannique. De leurs cotés, Patrick Pelloux, président de l'Association des médecins urgentistes de France, et François Miquet-Marty, président de Viavoice, livrent aussi leurs analyses sur la progression de cette souche anglaise sur notre sol.