Pour aider les victimes de mutilations sexuelles, Pierre Foldès, chirurgien urologue, a d'abord conçu une technique de chirurgie réparatrice. Une trentaine d'années plus tard, à l'occasion de la «journée internationale de tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines», le 6 février, il explique que la chirurgie ne suffit pas. Pour proposer une prise en charge pluridisciplinaire, il a cofondé l'Institut Women Safe avec Frédérique Martz, en 2014.