Désormais ces fichiers pourront mentionner les opinions politiques même lorsque les individus ne sont que des sympathisants. Ils pourront aussi préciser les convictions philosophiques et religieuses ou encore l'appartenance syndicale.
Le fichage pourra compiler des photos et des commentaires sur les réseaux sociaux. Il pourra même s'élargir aux amis, à la famille et aux enfants de la personne ciblée.
Pour les parlementaires de l'opposition, c'est une atteinte aux libertés.