Après les propos d'Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès, Erwan Guermeur, secrétaire départemental Unité SGP Police FO 93, "les policiers se sentent une nouvelle fois lâchés par le président de la République". Il estime que "la violence qu'exercent les policiers dans le cadre de leur mission est toujours adaptée par rapport à la violence exercée à leur égard".