Pour la police des polices, le commissaire auteur d'un croche-pied place de la République lundi 23 novembre, a commis un manquement par un usage disproportionné de la force.
A la lecture de ces conclusions, le ministre de l'Intérieur affiche sa fermeté. Concernant la deuxième enquête, celle qui porte sur les coups qu'un journaliste affirme avoir reçu de la part des forces de l'ordre, le rapport de l'IGPN n'apporte pas encore ses conclusions.
Dernière image choc évoquée dans le rapport. Celle du coup de pied d'un policier à un manifestant. Un geste qui n'a pas blessé l'individu et dont l'objectif visait le maintien à distance. Il relève donc d'un usage proportionné de la force selon l'IGPN.