Le champignon pleurote est peu connu des Burkinabè. Aïcha Deborah TRAORE et ses associés s’aventurent dans la production de cette « viande blanche végétale » afin de la faire connaitre et l’intégrer dans les habitudes alimentaires des Burkinabè.
Pour réussir dans le domaine, elle a suivi des formations au Benin qui lui ont permis de produire près de 200 kilos de champignons pour une première année.
« C’est une activité rentable. Je peux dire que si on met un fond de roulement de 100.000 FCFA, on peut ressortir avec un chiffre d’affaire de 300.000 FCFA », dit Aïcha Deborah TRAORE, associée gérante de la caverne burkinabè des champignons comestibles.