Nantes et le Loire-Atlantique ne sont que sur la première marche de la zone rouge.
Mais, quelques heures après la prise de parole du ministre de la Santé, chacun ressent comme une énorme épée de Damoclès au-dessus de la tête. Comme l'aéronautique et l'automobile, les commerces de distribution sont dans l'oeil du cyclone.