Pr Karine Lacombe : "On a un frémissement des augmentations des hospitalisations. Sur l'Île-de-France, les derniers chiffres sont plutôt stables. Mais on reste extrêmement vigilants, avec la rentrée, le retour des vacanciers."

France Inter 2020-08-24

Views 144

Karine Lacombe, chef de service maladies infectieuses à l'hopital Saint-Antoine, est l'invitée de Léa Salamé.
Plus d'info : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-24-aout-2020

Show more

Download

Report form

RELATED VIDEOS

Karine Lacombe :

play

Karine Lacombe : "Le variant delta est extrêmement contagieux, il a acquis des capacités de contamination élevées. Mais on arrive à en maîtriser la diffusion par la vaccination, elle permet de diminuer les hospitalisations et le risque de décès."

Karine Lacombe :

play

Karine Lacombe : "Fin juillet, nous avons repris les cellules de crises que nous avions interrompues en juillet grâce à la meilleure situation épidémique. Je ne dirais pas que l'hôpital est en crise, mais on est vigilants sur l'évolution de la situation."

Christian Estrosi :

play

Christian Estrosi : "Avec le préfet, tous les soirs, nous allons être très vigilants"

Olivier Véran :

play

Olivier Véran : "Le taux d'incidence remonte, même s'il est beaucoup plus faible. Mais le plus important, c'est la dynamique épidémique : chaque semaine, il y a environ 50% de contaminations en plus que la précédente. Nous devons être vigilants."

Karine Lacombe :

play

Karine Lacombe : "Le confinement, c'est une mesure de santé publique, ce n'est pas une mesure individuelle."

Pr Karine Lacombe :

play

Pr Karine Lacombe : "Je ne dirais pas qu'on est dans le grand relâchement, on a tous besoin de souffler"

Pr Karine Lacombe :

play

Pr Karine Lacombe : "L'histoire d'un virus qui serait moins transmissible ou moins grave est une histoire totalement construite, on n'en sait rien pour l'instant."

Pr Karine Lacombe :

play

Pr Karine Lacombe : "Les isolements dans les hôtels, ça a été un flop ; probablement que beaucoup de personnes ont préféré être isolées chez elles"

Pr Karine Lacombe :

play

Pr Karine Lacombe : "Le gros de l'épidémie est derrière nous, mais on sait tous que l'épidémie a une queue, qui peut traîner pendant des semaines voire des mois"

Pr Karine Lacombe :

play

Pr Karine Lacombe : "Il y a une deuxième vague, qui a commencé fin juillet, mais qui n'a aucun rapport avec ce que l'on a vu en mars-avril"

Karine Lacombe :

play

Karine Lacombe : "C'est un confinement moins strict que ce que l'on aurait pu penser, un bon compromis entre les contraintes sanitaires et les contraintes sociales et économiques, qui permet de garder une vie sociale relativement correcte."

Pr Karine Lacombe :

play

Pr Karine Lacombe : "Le problème de Pékin, c'est qu'il n'y a pas eu de première vague : ils ne veulent pas refaire l'erreur de Wuhan où ils ont sous-estimé initialement l'intensité de l'épidémie"