Trois ans après une première décision, la plus haute juridiction administrative constate que "le gouvernement n’a toujours pas pris les mesures demandées pour réduire la pollution de l’air dans huit zones en France". Il s’agit des agglomérations de Paris, Grenoble, Lyon, Marseille-Aix, Reims, Strasbourg et Toulouse pour le dioxyde d’azote, et de Paris et Fort-de-France pour les particules fines.