Edouard Philippe insiste sur l'impact de la scolarisation sur le travail des parents. S'inquiétant d'une « bombe à retardement pédagogique », le Premier ministre souligne devant les députés qu'avec « l'évolution de la crise », il faudrait « desserrer l'étau des conditions sanitaires d'accueil dans les écoles de façon à pouvoir permettre le retour d'un plus grand nombre d'enfants». Il appelle appelé les établissements à prendre en compte « le caractère pratique pour les parents ». « Proposer des demi-journées d'accueil, ou même des journées alternées, c'est placer les parents et les employeurs dans des situations qui sont parfois quasi impossibles à gérer », a-t-il relevé.