Des chercheurs chinois ont analysé la diffusion de fake news et de véritables informations sur un réseau social.
Ils ont constaté que les premières étaient davantage diffusées lorsqu’elles suscitaient colère et inquiétude.
Les chercheurs ont chargé une équipe de neuf personnes d’évaluer le « contenu émotionnel » des message.
Chaque message s’est vu ensuite vu attribuer une « côte émotionnelle ».
Il s’est avéré que les fausses informations véhiculaient beaucoup plus de colère et moins de joie que les véritables informations
Ils ont aussi constaté que les messages véhiculant de la colère suscitaient un pays grand sentiment d’anxiété.
L’une des principales caractéristiques de la désinformation consiste à jouer sur les émotions.
C’est ce qui pousse davantage les gens à partager ce type de contenus.