Une étude publiée par Le Monde et menée par des épidémiologistes et statisticiens conclut que la tenue du premier tour, le 15 mars dernier, n’a pas accéléré statistiquement la circulation du virus. "Elle ne dit pas qu'il n'y a pas eu de nouvelles contaminations qui aurait pu être évitables pendant le vote (...) Mais elles n'ont pas contribué à accélérer l'épidémie", précise l'épidémiologiste Pascal Crépey sur BFMTV ce vendredi.