L’histoire remonte à 2006, alors avocat en Syrie, Anwar al-Bunni est kidnappé par des hommes du régime dans une rue de Damas. Il est emprisonné pendant 5 ans. Il ne subit pas de torture.
« En revanche, j’entendais la nuit les cris des gens torturés dans le couloir. Les gardes sortaient les détenus de leur cellule et commençaient à les frapper, juste comme ça, pour le plaisir, pendant une demi-heure. Parce qu’ils demandaient de l’eau ou de la nourriture. »
Une nuit, il est amené dans le bureau du directeur de la prison... Retrouvez l'intégralité de cette interview de Marc Nexon sur www.lepoint.fr