Selon cette nouvelle étude, les jeunes générations oublient l'abondance passée de la biodiversité.
Cela constituerait un frein important à sa conservation.
Les personnes interrogées estiment que les espèces, y compris celles en fort déclin, sont aussi nombreuses qu'auparavant.
Un phénomène théorisé par le chercheur Daniel Pauly et connu sous le nom de « syndrome du changement de base ».
Les générations actuelles sont susceptibles de considérer ce qu’elles voient comme tout à fait normal.
"Si rien n’est fait, les liens nous reliant à la faune sauvage vont continuer à s’effriter" expliquent les chercheurs.