Jeudi matin, le parvis de la gare de Gap avait des pris airs de barricades. Cheminots et autres manifestants étaient une quarantaine dès 5 h du matin à monter un piquet de grève. Palettes, poubelles, pneus et feu de joie étaient de sortie, qui pour barrer qui pour chauffer cette matinée qui paraissait vouloir jouer les prolongations. Damien Koster, secrétaire générale de l’union départementale Force ouvrière, explique”.