Un américain souffrant de leucémie a reçu une greffe de moelle osseuse il y a quelques années.
Les premiers tests effectués ont révélé que l’ADN de ses cellules sanguines était en partie composé de celui de son donneur.
Et ces changements se sont poursuivis au fil du temps.
Seule la pilosité de son torse et de ses cheveux, qui ne présentait aucune altération.
Tous les échantillons de tissus (joue, lèvre…) et de salive comportaient également l’ADN du donneur.
4 ans après, les scientifiques ont constaté que le liquide séminal contenait exclusivement l’ADN du donneur.
Il s'agit d'un cas unique qui laisse les chercheurs perplexes.
D’autres recherches seront nécessaires afin de comprendre le mécanisme exact à l’origine de ce changement.