La diffusion de l'enregistrement de l'appel aux secours d'Elodie Kulik, violée et tuée en janvier 2002, a saisi d'effroi la cour d'assises d'Amiens mercredi, sans permettre de véritable progrès dans la détermination de l'éventuelle responsabilité de Willy Bardon, seul sur le banc des accusés.