Une étude scientifique écossaise démontre que les footballeurs retraités seraient plus exposés à des maladies du cerveau. En cause: le jeu de tête. Une grande étude de l’université de Glasgow montre que les anciens footballeurs ont trois à cinq fois plus de risques de développer des maladies du cerveau comme Alzheimer ou Parkinson. Ce risque serait lié, selon les chercheurs, aux chocs trop fréquents du ballon avec la tête pendant des années. Scientifiquement, cette conclusion est discutable selon les chercheurs français, mais l’UEFA est en train de mener une grande enquête sur le sujet au niveau européen. Les conclusions sont attendues pour le mois de mai.