Des enseignants se sont rassemblés mercredi 6 novembre devant la direction générale des ressources humaines de l'Education nationale à Paris pour demander des avancées concrètes sur leurs conditions de travail, qui se dégradent de plus en plus. Nécessité d'une médecine du travail, diminution des effectifs par classe, autant de revendications que clament haut et fort des enseignants qui réagissent face à leur situation, un mois et demi après le suicide d'une directrice d'école. 73 % des enseignants estiment que leur travail a dégradé leur état de santé. En parallèle se tenait un CHCT extraordinaire consacré à la souffrance au travail dans les établissements scolaires.