Le 24 avril 2013, le Rana Plaza, immeuble spécialisé dans la confection textile au Bengladesh s'effondrait.
La catastrophe faisait plus de 1 100 morts, et l'accident avait poussé la plupart des marques à changer leurs méthodes.
Les grandes marques ont ainsi décidé de s'associer à des organismes de contrôle.
Ce ne serait pourtant pas le cas d'Amazon, si l'on en croit une vaste enquête du Wall Street Journal.
Ainsi, ils font appel à des dizaines d'usines considérées comme "trop dangereuses" par d'autres marques.
Parmi les problèmes recensés : des bâtiments prêts à s’effondrer, des alarmes hors service...
Si ces produits sont vendus sur la plateforme Amazon, ils le sont pas des vendeurs tiers.
Ainsi, les articles de marques appartenant à Amazon ne semblent pas avoir été fabriqués dans ces usines.