Parmi les nombreux chantiers sociaux de la rentrée, la réforme du baccalauréat reste l'un des plus délicats pour l'exécutif. Après une fin d'année particulièrement tendue, marquée par des mouvements de grève pendant les épreuves finales, Jean-Michel Blanquer reçoit cette semaine les organisations syndicales pour tenter de renouer le dialogue.
Mais la réforme, elle, est déjà entrée en vigueur. L'année dernière, les élèves de seconde ont choisi leurs options, désormais, on entre dans le vif du sujet.
L'examen final ne compte plus que pour 60% de la note, les 40% restants sont répartis entre les bulletins de première et de terminale, et le fameux contrôle continu.