En août dernier, la loi contre le harcèlement de rue et dans les transports en commun entrait en vigueur. Un an plus tard, le bilan tiré par les associations féministes est mitigé. Elles estime que c'est un bon début mais qu'elle est insuffisante. Les associations dénoncent également la requalifications d'agressions sexuelles en outrages sexistes, et souhaitent une réécriture de la loi.