Plusieurs permanences de la République en Marche ont été la cible d’actes de vandalisme à cause du CETA. Le traité de libre-échange fait l’objet de vives contestations de la part d’agriculteurs. Invité de BFMTV ce vendredi, le porte-parole des jeunes agriculteurs d’Ile-de-France, Frédéric Arnoult, explique que "c'est un cri de désespoir".