Nous le savons, la hausse des températures à travers le globe menace grandement faune et flore.

Une étude alarmait déjà en 2018 sur le fait que la moitié des animaux et des plantes pourraient bien disparaître.

Les animaux ont pourtant la possibilité de bouleverser leur comportement biologique.

Seulement voilà, la hausse des températures actuelle vient mettre en péril cet argument.

Le rythme d’aujourd’hui ne garantit en aucun cas “leur subsistance”.

Les adaptations morphologiques ou les adaptations dites de phénologie ne semblent plus assez efficaces pour pallier le changement climatique.