Alors quil sortait de la tour La Marseillaise, où il a signé le Projet partenarial daménagement du centre-ville de Marseille, Julien Denormandie a été interpellé par un groupe de personnes vivant dans le squat du 59 avenue Saint-Just, et menacées dexpulsion après que le diocese a demandé à récupérer le bâtiment. "Des logements, pas dexpulsion !" Scandaient-ils.
"250 personnes sont concernées, dont des mineurs isolés qui n'ont personne pour les représenter, regrette Cécilia, membre du collectif "59 av Saint-Just". Cela fait 7 mois qu'on les accompagne et ils pourraient tous être expulsés d'ici une semaine."
Elle a demandé au ministre de libérer les immeubles vides pour les squatteurs.